Atelier détente enfant/parent en forêt


      ATELIER DÉTENTE EN FORET : mercredi 22 juin 2022

Dans le cadre du Festival “les Nuits des Forêts”

Pour qui ?

Pour les enfants et leurs parents (ou accompagnateur)

Où ?

Dans un bois (Accessible. Privé. Assuré) route de la forêt 36250 Saint- Maur (Une indication vous signalera l’entrée le jour « j »)

Quand ?

 Le mercredi de 14h à 16h 

Quel prix ?

atelier gratuit dans le cadre du festival “Nuits des forêts”

Mais une petite boite sera à disposition pour une éventuelle petite participation pour l’organisation, si vous le souhaitez

Pourquoi ?

Pour se détendre, échanger enfant/parent dans un autre cadre, être écouté, se ressourcer dans la nature, sortir de chez soi, vivre une expérience personnelle et en petit groupe.

Par qui ?

Sylvie Etiève

Thérapeute familiale conjugale 36000 Châteauroux (siret : 830 585 386 00014)

Quel sera le contenu ?

Comme les ateliers « anti-stress » proposés tout au long de l’année, le déroulement de « l’atelier détente en forêt » suivra le même déroulé :

Connexion à soi/ connexion aux autres :

Un temps d’accueil, de rituels, de règles et d’échanges (sur ses émotions), cercle du partage, exercice de respiration.

Connexion à la nature :

Un temps d’activités sensorielles, d’activités créatives, de marche en prenant conscience de son corps dans cet espace calme et naturel, de découverte et d’exploration de la forêt.

Ouverture sur la suite de sa vie.

Rituels de fin de séance : Savoir se quitter, remercier et retourner, enrichi de cette humble expérience, dans la suite de sa petite vie pour partager ce que l’on a vécu avec d’autres.


Quelles conditions sont nécessaires pour participer ?

*Seuls les enfants accompagnés seront reçus : cela peut être d’un parent, grand-parent ou d’une personne adulte très proche.

*Les participants doivent avoir la forme nécessaire pour aller en forêt (attention notamment aux problèmes d’allergies) Penser anti-moustiques.

*Être très bien chaussés, avoir des chaussettes (pas de socquettes), être en pantalon et si possible bras couverts aussi. Avoir des vêtements que l’on peut salir 

*Les enfants doivent avoir entre 5 et 12 ans.

*Les enfants participant devront respecter les règles, notamment de sécurité, et de protection de la nature données au début de la séance.

*Les parents devront avoir une assurance responsabilité civile à jour. Les enfants restant sous leur responsabilité.

* Savoir qu’en cas de vent, et de grosse pluie et pour des raisons de sécurité : la séance sera annulée.


Quels bénéfices potentiellement visés ?

  • Bénéficier des ressources de la nature (calme, air forestier, …)
  • Diminution de son anxiété, meilleure santé,meilleur sommeil.
  • Attention, concentration, détente.
  • Créativité, découverte exploration et adaptation
  • Ouverture sur le monde sur les autres, coopération
  • Connaissance de soi, mieux gérer son stress et ses émotions
  • Se sentir alléger de pensées préoccupantes, et nourrir des pensées positives.
  • Créer un bon souvenir.
  • Consolider la relation parent/enfant par cette humble expérience.

Merci de votre attentive lecture.

Si cet atelier vous intéresse pour votre enfant écrivez-moi à sylvie.etieve@gmail.com ou en message privé sur ma page Facebook.

Bien-être parents d’adolescents

Pas facile de devenir un parent d’adolescent !

Certains de nos enfants sont dans un tel état de stress en vue d’un examen, par exemple qu’ils en modifient l’ambiance familiale. A tel point parfois que l’on s’entend dire « mais arrête un peu ce n’est que le bac que tu passes tu ne joues pas ta vie non plus », ce à quoi on nous rétorque « mais tu ne te rends pas compte, je n’aurai jamais le temps de finir toutes mes fiches avant les révisions !! »

A l’inverse certains autres ont une attitude d’une telle détente (coolitude pourrait-on dire) que du coup le stress monte plutôt en nous parents, et l’on se surprend à le secouer un peu en lui disant « tu n’auras pas ton bac dans une pochette surprise !! Tu vas t’y mettre quand ?? » (et on n’a même pas envie d’entendre la réponse du genre :  « il y a une semaine de révision : c’est fait pour  ça!! »

Entre ces deux réactions inversement proportionnées il y a quand même une cohorte de jeunes qui face à un examen à venir prennent les choses avec méthode et clairvoyance.

Cette période est d’autant plus agitée que nous avons-nous-mêmes, parents, notre lot de choses multiples à gérer, à vivre et que beaucoup d’interrogations sur l’orientation nous préoccupent aussi !

Alors pour prendre un peu de distance, je vous propose une soirée d’échanges sur cette thématique « Bien Etre parents d’adolescents en général et en période d’examen en particulier ».

Soirée où l’on abordera les thématiques suivantes :

 La spécificité de l’adolescence.
Accompagner sans se substituer : l’autonomie et l’organisation.
 L’outil le plus utile pour apprendre : la mémoire
 Conditions physiques et psychologiques intellectuelles matérielles
 Le stress  

La rencontre aura lieu à « la petite maison au cèdre », en petit comité donc.

Les adolescents peuvent y assister à la seule condition qu’ils ne sortent pas leur smartphone pendant la réunion.

Le RV est à 20h, la rencontre va durer environ 1h30.

Et le coût de la soirée est de 10€/famille.

Il faut juste s’inscrire car le nombre de places est très limité !

Bonne fin d’année scolaire à chacun ! Et surtout belle réussite à ceux qui travaillent !

Et pour les ados eux-mêmes je peux prévoir un “coaching bac”

Parler de l’actualité ukrainienne aux enfants ?

Doit-on leur parler de la guerre ? Comment leur en parler ?

Difficile de passer à côté de l’actualité de ce qui se passe en Ukraine. Il est essentiel d’essayer d’avoir les bons reflexes, les bons mots avec les enfants.

Tout d’abord : un rappel ! Regarder les informations souvent anxiogènes n’est pas constructif ! Il faut que cela soit accompagné d’explications et de temps de partage de ressentis. Une image peut perturber très longtemps un enfant !

Avant 3 ans pas de TV (pas d’écran) comme le recommande tous les professionnels de la santé : Serge Tisseron le premier.

Et si malgré nos précautions, l’enfant (même petit) voit des images difficilement supportables, il faut l’écouter en parler.

Pour les peu plus grands, les parents doivent (s’) informer, sans les (sur)exposer aux images terrifiantes, et donner des explications à un moment opportun :soit quand l’enfant pose des questions, soit, au cours de la journée; mais éviter le soir avant l’endormissement, évidemment. Et surtout ne minimisez pas ses craintes, entendez-les, faites-le parler, ou dessiner ce qu’il voit dans sa tête par exemple.

Par ailleurs : “Une étude allemande a été réalisée l’an dernier dans 42 pays du monde auprès de 5000 enfants de 8 à 12 ans, qui mesurait très précisément le degré d’anxiété d’un enfant par rapport à son degré de compréhension d’un enjeu. L’étude a révélé que plus un enfant comprend, moins son niveau d’anxiété est élevé.”  explique Ève Tessier-Bouchard, Directrice du développement des contenus jeunesse canadien. Donc l’enfant a besoin de comprendre.

On peut expliquer de façon géo-politique les relations entre les deux pays en guerre avec des mots simples :

L’Ukraine faisait partie de la Russie jusqu’en 1991; puis l’Ukraine s’est séparé de la Russie et voudrait rejoindre l’OTAN : une petite vidéo sur l’OTAN peut appuyer l’explication. Mais la Russie ne le veut pas, car elle se sentirait isolée si beaucoup de pays qui l’entourent font partie de l’OTAN. Alors le président Poutine souhaite annexer l’Ukraine à son territoire, donc il a déclaré la guerre.

Si l’enfant vous demande combien de temps va durer cette guerre ? Vous pouvez dire très honnêtement que l’on ne sait pas. Cela va dépendre de la puissance des attaquants, de la réaction des attaqués. Que l’on espère que cela va vite s’arrêter et que l’on souhaite que le moins de personnes possibles soient touchées. Et ajouter qu’il y a d’autres conflits dans le monde dont on parle moins mais tout aussi terribles.

Vous pouvez donc parler exode et réfugiés à ce moment là : parfois, et par sécurité les familles se séparent : des hommes et des femmes restent dans le pays pour combattre et des enfants et leurs mamans partent se réfugier dans des pays voisins, et cela en vous appuyant sur une carte. Expliquer qu’un réfugié est une personne qui fuit son pays parce qu’il s’y trouve en danger. Et que beaucoup de pays du monde sont prêts à accueillir ces réfugiés. Car la guerre est injuste.

Enfin l’enfant peut demander si nous allons nous aussi être bombardés ou s’il va y avoir une guerre mondiale ? On peut lui dire que la Russie a une armée puissante pour attaquer un pays, mais pas pour attaquer tous les pays de l’OTAN donc ce ne serait pas une bonne idée de sa part. Que les pays donnent des sanctions économiques à la Russie, parce qu’elle attaque l’Ukraine, mais ce sont des conséquences des “punitions” économiques : empêcher d’acheter ou de vendre des choses à la Russie par exemple. Ce qui est triste aussi pour tous les Russes qui ne souhaitent pas cette guerre. Nul ne connait l’avenir mais quant à la troisième guerre mondiale, des experts nous disent qu’a priori non, c’est d’ailleurs pour éviter cela que les autres pays de l’OTAN ne rentrent pas dans le conflit.

Pour conclure vous pouvez aussi demander à votre enfant ce qu’il peut faire de son côté, à son niveau, quand il pense à tout cela et le conduire à la question “comment vivre en paix ?” Cela le responsabilise et le rassure, il va peut-être vous parler d’une action possible ou vouloir dessiner le drapeau (bleu du ciel, jaune des blés) ou raconter des disputes, ou de belles amitiés qu’il a vécues autour de lui. Alors vous aurez là un nouveau sujet de conversation :

ECOUTEZ-LE  et CHANGEZ -LUI LES IDEES 🙂 passez à autre chose en souriant et en le câlinant !

Merci de m’avoir lue.

Sylvie Etiève 1er mars 2022

sources :

Danielle Dutrisac : aider son enfant.com

Des albums pour évoquer la guerre : http://lesptitsmotsdits.com/guerre-12-livres-aborder-sujet-enfants/

se documenter : https://ww2.ac-poitiers.fr/hist_geo/spip.php?article2103

https://www.lemonde.fr/vous/article/2009/11/20/l-exposition-a-la-television-retarde-le-developpement-de-l-enfant-de-moins-de-3-ans_1270038_3238.html

https://www.lumni.fr/video/qu-est-ce-que-l-otanhttps://www.lumni.fr/video/qu-est-ce-que-l-otan

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_guerres_contemporaines

Comment une si petite bête nous a-t-elle mis dans un tel état ?

Un atelier conférence pour échanger sur notre santé mentale.

Je me suis rendue à Lourdoueix-Saint-Michel, ce mois de janvier 2022 en réponse à l’invitation de l’association Familles Rurales, pour échanger au cœur d’un atelier conférence, sur les dommages collatéraux, liés à la crise sanitaire.

Un temps de présentation en alternance avec des temps de paroles “qui font du bien , on en a tous besoin pour positiver un peu cette période difficile” comme l’écrit une des participantes.

Des informations, des réflexions, des tests, des exercices pratiques, et de la convivialité, sont les lignes conductrices de ce moment partagé.

N’hésitez pas à contacter la fédération Familles Rurales de l’Indre si vous souhaitez que je vienne dans votre village pour :
“Un atelier qui nous oblige à réfléchir sur nous-mêmes. On prend le temps de faire la pause avec Sylvie.” écrit une autre participante.

Nous avons (cause covid) fait des photos en extérieur devant l’ancien collège du village rénové en gite de groupe: grandiose !

Merci pour la confiance renouvelée de cette dynamique association: car il faut un certain charisme pour mettre en place des activités actuellement où la léthargie prend le pas sur l’envie. Donc bravo !

Avec les membres du Conseil d’Administration
L’ancien collège de Lourdoueix St Michel
Merci pour votre bel accueil à chacun.
Leur affiche.

Journée de rentrée avec Familles Rurales

Le défi était un peu relevé. Remplacer une “animatrice-formatrice” pour faire vivre un temps de cohésion à l’équipe de salariés et membres du CA de la fédération Familles Rurales de l’Indre: soit une cinquantaine de personnes.

Le thème de cet atelier-conférence était: “le lien”. Créer du lien étant l’objectif.

Différents espaces investis à différents moments de la matinée

Cela s’est passé dans une jolie salle des fêtes lumineuse, avec vue sur l’Indre: donc un bel espace approprié à la situation !

Pendant 3 heures, parfois secondée par la directrice ( qui connait bien son équipe) j’ai varié apports théoriques (bien souvent des rappels qu’on oublie un peu) et des activités de cohésion, de réflexion et de création.

synthèse du world café

Le groupe fut absolument extra : participatif, bienveillant, et, la qualité d’écoute qui en émanait était juste ” formidable”. Même si j’étais formatrice dans mon précédent métier, aujourd’hui, je suis plus centrée sur des petits groupes et surtout des thérapies personnelles. Néanmoins, lorsque vous proposez un tel moment avec des mises en situation, des petits jeux, des ateliers participatifs mais aussi quand, de façon un peu plus magistrale, vous parlez communication, lien d’attachement, relations saines avec un auditoire aussi attentif et respectueux ( et patient ) cela ne peut que vous encourager à recommencer.

Alors merci à la directrice de Familles Rurales qui m’a fait confiance (effectivement on se connait bien, mais quand on est pris de court, on se tourne vers les personnes que l’on a dans nos relations proches), merci à la Présidente, et surtout merci à tout le groupe composé d’une multitude de belles personnes différentes, compétentes, “militantes et/ou techniciennes” 😉 pour cet accueil et ce retour dans l’évaluation reçue ce jour.

Bonne rentrée et bonne année à votre groupe dynamique et performant.

Restez-en lien, restons-en lien !

Sylvie ETIEVE

Photos SE & SE

“PyLu du Boutru” est disponible.

📓

Voilà, je me suis lancée. J’ai envoyé mon (premier) récit, sur la fin de vie, à des éditeurs, qui sont débordés (ils le regarderont dans quelques mois, ou pas, d’ailleurs). Donc, après relecture par plusieurs personnes (que je remercie encore) et l’attente du n° ISBN qui permet d’éditer le livre, j’ai décidé de le faire imprimer (sur un site en ligne), pour le plaisir de l’objet livre, et du partage de ce récit de vie très subjectif.

😉

Titre du récit : “PyLu du Boutru

Format du livre : 14/21 cm 190 pages –

Sur commande ( sylvie.etieve@gamil.com ) ou auprès de moi

Prix: 9 €.

(+6 € si frais d’envoi)

Disponible à CULTURA Saint-Maur (36)

Un extrait (4éme de couverture) :

« Ma belle-sœur, l’espiègle, arrive à son tour.

Elle me regarde, je la regarde.

On le regarde.

Avec un grand détachement, elle sort un rouleau de scotch bleu de son sac, en coupe un bon morceau. Et tout aussi discrètement que rapidement je la vois se baisser, relever le tour en tissu cachant les tréteaux pliants, se glisser à quatre pattes sous le cercueil et remonter l’air satisfait du chalenge accompli :

-Voilà, c’est bien en dessous de ses Tupperware qu’il collait sa marque ? eh bien, là, j’ai fait pareil : un bout de scotch bleu pour ne pas qu’on le perde complétement

Elle l’avait fait ! PapyLu irait au paradis tant espéré par Mamie qui, si elle avait un doute, pourrait mieux le reconnaître avec ce scotch bleu sous son navire-sépulcre-spatial ! »

❤

Merci à tous ceux qui m’ont encouragée à finaliser ce projet

Il/Elle ne m’écoute pas !

Des parents viennent me voir car ils s’inquiètent du fait que leur(s) enfant(s) ne les écoutent pas. Il n’y a rien de mieux effectivement comme démarche que de demander un coup de pouce quand cela ne va pas, plutôt que de nier une difficulté, la minimiser ou s’y accoutumer.

Cet article vous donnera quelques pistes mais ne vous empêchera peut-être pas de demander un accompagnement parental ponctuel .

Tout d’abord il faut analyser la situation. Ce n’est pas la même chose suivant le contexte familial: parent-solo, parents en couple, parents séparés, parents veufs, parents en couple mais l’un des deux étant très souvent absent (par exemple militaire en mission longue et régulière), enfant unique, grande fratrie, fratrie recomposée…

En général un enfant qui attire l’attention ++, qui fait le pitre de façon exagérée, qui crie qui pleure ou qui tape est un enfant qui demande à sa manière de l’aide.

Donc la première analyse à porter est celle-ci : que veut me dire mon enfant dans ce comportement exagéré et répété au point que cela me fatigue, m’épuise?

Les sources de son mal-être (car s’il se comporte comme ça, cela n’a rien d’agréable pour lui non plus) peuvent être variées, évidemment et souvent, très personnelles. Néanmoins deux choses sont à prendre en compte:

1: Ses besoins sont-ils satisfaits ?

2 :Le cadre dans lequel il évolue est-il sécure ?

1: Satisfaire les besoins de son enfant.

Avant tout un enfant a besoin, d’affection de dialogue de rires de câlins de jeux… d’un amour inconditionnel °.

=> Un enfant doit dormir son comptant ( entre 9 et 11 h) par nuit-il faut être attentif à l’heure à laquelle passe SON train du sommeil.

*Un parent me disait en consultation que sa fille de 8 ans, s’endormirait bien à 19 h 30 mais que pour avoir une vie de famille il lui demandait de faire un effort et … qu’après elle ne trouvait plus le sommeil avant tard le soir. Et que du coup c’était la corvée d’aller au lit.  Si vous êtes attentif aux signes du sommeil de votre enfant (frottement des  yeux, frissons, bâillements, petite irritabilité, fatigue ) vous aurez tout intérêt à faire en sorte qu’il soit prêt à aller au lit. 

=> un enfant a besoin d’une alimentation équilibrée (peu de sucre blanc, beaucoup de produits frais non transformés, beaucoup d’eau et peu de soda … les intestins sont le deuxième cerveau du corps

*Une maman d’un très jeune garçon, me disait (entre autre) que son enfant était stressé car il avait toujours mal au ventre. Il est vrai que le stress peut entraîner des maux de ventre. Mais avant toute chose il est toujours bon de s’assurer de la réciprocité. Son mal de ventre n’était-il la cause de son stress?  En y regardant plus en détails, elle me confirmait qu’il ne mangeait pratiquement jamais de fruits buvait beaucoup de sodas, et mangeait surtout des féculents. Elle convint que le système digestif était un peu mis à mal! Elle s’en désolait mais ne voyait pas comment faire autrement.  Parfois une diététicienne,mais aussi une grand-mère ou un(e) ami(e) peuvent apporter une aide précieuse si l’on est vraiment en difficulté avec  l’alimentation.

=> Un enfant a besoin d’exercice et d’extérieur. S’il n’a pas sa dose de mouvements quotidienne, son irritabilité pourra venir de là. Nous sommes tous de plus en plus sédentaires et les enfants passent beaucoup de temps assis notamment devant un écran.

*Des parents me parlaient de la différence entre leurs enfants; L’aîné avait besoin de faire du trampoline en revenant de l’école pour se défouler alors que le second -plus solitaire- aimait s’isoler un peu dans sa chambre avec ses playmobiles et l’univers qu’il s’inventait.  Mais quand le temps le permettait ils prenaient tous un goûter  dehors avant tout, où faisaient un tour au parc.

Ils n’ont pas tous les mêmes besoins , leurs besoins varient : être parent c’est  aussi cela: être attentif tout en proposant le petit plus!

=> Un enfant n’a pas vraiment besoin d’écran. Bien sûr difficile de les éviter, et ce n’est pas mon propos. Mais l’on connait l’impact de ces écrans sur le cerveau de l’enfant et sur son comportement. Trop de stimulations fatiguent et irritent les enfants. Vous avez sans doute vu ces reportages d’enfant qu’il faut “sevrer” des écrans pour qu’ils se reconnectent à “l’ici et maintenant” . L’idéal c’est de les maîtriser c’est à dire qu’on en donne l’accès qu’à un certain moment avec un début et une fin, On privilégie les écrans inter-actifs, on contrôle le contenu et surtout on n’enfait pas un faux-allié systématique. Exemple je lui donne mon téléphone pour être tranquille ! On gagne du temps à court terme mais on en perd à long terme!

*Les parents sont de plus attentifs à la consommation d’écran par leurs enfants (à la qualité d’utilisation). Mais pas tous. Une maman dont le petit garçon était très agité et désobéissant (aux dires de celle-ci) ne comprenait pas pourquoi il était ainsi !  En échangeant avec eux je compris qu’il regardait des films (d’horreur) interdits aux moins de 18 ans en compagnie de sa mère (qui aimait ça mais cela lui plaisait bien qu’il soit près d’elle. Il expliquait par  ailleurs qu’il faisait des  cauchemars se réveillait souvent avec des images de monstres et de sang  dans la tête, et donc il dormait mal !  Le lien fut assez évident entre ce qu’il voyait et ce dont il rêvait. La  maman n’avait pas franchement pris conscience du lien cause à effet car elle était  convaincue  qu’il regardait cela distraitement et que de toutes façons elle lui  avait bien expliqué que tout ce qu’ils regardaient “c’était pour de faux!”  Tous les parents font des erreurs! Ce qui est fort c’est de les corriger!

=> Plus il est jeune plus la question de l’ordre des rituels est importante. Parfois on croit que le petit n’écoute pas mais en fait souvent c’est que l’on n’a pas respecté son schéma très ordonné. Exemple: vous demandez à votre enfant de 5 ans de se brosser les dents avant de mettre son pyjama alors que l’habitude est inverse, il peut juste “désobéir” car il est perturbé dans ses rituels, et cherche à répondre à son propre besoin. Ce n’est pas contre vous mais pour lui. Les neurosciences nous montrent cette évolution du cerveau de l’enfant qui permet d’adapter l’éducation aujourd’hui.

Ce n’est pas une question de manque d’autorité, mais bien une question de connaissances. Dans l’exemple ci-dessus, si vous ré-évaluez votre attente en disant “ah oui tu as tes petites habitudes fais comme tu le sens pourvu que les deux soit faits”, vous désamorcez la situation, et pas de tension. Si vous dites ” oh mais ça n’ a pas d’importance, c’est moi qui décide, ce soir c’est comme ça” vous envenimez la situation: un vous appuyez sur le côté “prise de pouvoir” interne à la notion d’autorité, deux : vous ne savez pas que pour lui c’est important, donc en dénigrant ses attentes il se sent incompris et il perd un peu de votre confiance.

2 : Le cadre dans lequel il évolue est-il sécure ?

=> L’enfant pour se sentir en sécurité doit pouvoir s’appuyer sur l’affection, la confiance qu’il reçoit de ses parents, son entourage. Ce lien entre l’enfant et ses parents (ou nourrice…) est un lien d’attachement primordial dans sa vie. Un attachement sécure apporte autonomie, indépendance et ouverture sur le monde, car il sait que des parents vont prendre soin de lui quoi qu’il arrive. Il se peut qu’un enfant qui ne se sente pas en pleine sécurité soit défiant, provocateur, désagréable, il cherche vos limites (affectives), il est donc préférable de répondre par la douceur, la prise de recul que par l’agressivité ( La violence est interdite. ) car celle-ci renforcera son côté “désobéissant”. Peu réconfortant mais il est normal que votre enfant se relâche plus avec vous qu’avec son enseignant, cela traduit bien que vous êtes sa figure d’attachement à qui il peut “tout confier” (en confiance)

=> On sait aujourd’hui qu’un enfant qui n’écoute pas, s’il fait une bêtise par exemple, la punition qui lui sera administrée ne l’encouragera non pas à arrêter de faire cette bêtise mais à la (re)faire, sans se faire prendre: il portera son attention sur la manière de la faire pas sur l’objet lui-même (“ah ah : tu ne m’as même pas vu !”)

=> Pour “rassembler” un enfant dispersé, agité, le contact peut l’aider. L’assoir posément contre un mur (dos contre mur) ou autre support, ou mieux sur vos genoux, lui permet de se canaliser. L’accompagner dans sa respiration (comme les vagues sur une plage), le masser, contracter détendre ses membres et lui faire dire ce qu’il éprouve dans son corps, peut le recentrer également.

=> L’enfant a besoin de connaitre et de construire les règles et les conséquences dans la vie de famille (comme nous apprenons le code de la route). Si ces règles sont mises en place ensemble et que les conséquences sont pré-établies cela assainira la relation en cas de problème notamment dans les situations conflictuelles.

Il faut enfin se redire, que le parent que l’on est, dépend de ceux que l’on a eus**. Une analyse peut permettre une certaine mise à distance si l’on n’a pas eu des parents très sécures par exemple.

L’enfant n’aura pas la même écoute de son père ou de sa mère.
En même temps il n’y a pas le parent gentil et le vilain. Beaucoup d’autres paramètres jouent: si c’est un garçon ou une fille, sa place dans la fratrie, son tempérament, le vôtre, le lieu, l’heure, la situation …

En un mot “éduquer un enfant” est complexe (ça on le savait) et encore plus aujourd’hui, mais l’idée à retenir est le cadre bienveillant mais ferme et dont l’enfant connait les règles et leurs conséquences. La souplesse d’adaptation aux situations plutôt que la rigidité. Plus ils grandissent moins on doit être hermétique, leur faire confiance est gage de responsabilisation donc de plus d’écoute, et bien sûr l’amour inconditionnel.

Il n’y a pas d’école de parents, mais parfois quelques conseils glanés ici ou là permettent de se former un peu. De toutes façons on a tous droit à l’erreur: eux comme nous !

Faites au mieux !

Merci pour votre lecture. (vous êtes enfin au bout de l’article)

Sylvie ETIEVE

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*Tous les exemples issus de ma pratique ne prennent en compte qu’un des nombreux indicateurs donnés par les parents lors des thérapies. Rien n’est uni-factoriel et tout n’est pas si simple !

° Un amour inconditionnel est un amour qui transcrit “quoi que tu fasses, je t’aime. Même si parfois je ne suis pas d’accord avec toi ou si je suis fâchée je t’aime quand même, sans aucun condition, sans aucun chantage. Cet amour n’est ni invasif ni distant. Il se met en mots et en actes.

** lire le livre “parents sous influence” de Cécile David-Weil (éditions Odile Jacob) peut vous aider

Le dossier du jour sur ce thème sur France Bleu Berry 17 juin 2021 intitulé:

Vos questions assurance 17 juin 2021  

Le titre ne correspond pas car j’avais remplacé un invité au pied levé 😉

Ecriture collective: “Mauvais signe”

J’ai eu l’occasion de participer à une écriture collective dans mon village. L’idée était d’écrire à plusieurs dans un ordre aléatoire, une histoire dont le thème fut impulsé en début d’expérience par l’auteur Stéphane Aucante, originaire de Saint-Maur (je reprendrai cette technique). Ce livre s’est réalisé sous l’œil attentif de la directrice de la bibliothèque Karine et fut présenté en lecture collective . Ce n’est pas le genre de roman que j’apprécie particulièrement (noir et fantastique) , mais j’ai réussi à y mettre une petite touche qui a trouvé sa place dans ce “puzzle littéraire”, et l’idée du collectif en temps de confinement était agréable à vivre, je vous en livre l’extrait (retenu pour le livre).

(C’est l’histoire d’une jeune graffeuse qui enquête sur des meurtres. Cela se passe à Marseille dans les bas fonds, MAIS Jack un des personnages se trouve à la centrale de St Maur sur Indre) …

“Au cœur de cette même nuit si particulière, aussi noire qu’un point final, Jack ne parvient pas à dormir dans sa cellule, là-bas, à six-cent kilomètres de Marseille : la visite de Greta et leurs échanges l’ont secoué. Depuis, il a quitté Gireugne et réintégré la Centrale. Une chose extraordinaire lui a été aussitôt accordée : une permission de sortie. Non pas dans un bois ou une forêt, mais au village le plus proche de la prison. En pleine insomnie, il se remémore cette sortie… Très encadrée et suivie, il est vrai. Mais qu’importe ! Il a pu s’extraire de l’enceinte de la Centrale de huit à dix-huit heures, en donnant ses lieux de point de chute, et muni bien sûr d’un bracelet électronique.

Les multiples portes du sévère bâtiment s’ouvrirent. Signatures d’engagement, remise du bracelet, récupération d’un pécule et de son sac dans le bureau d’entrée. Quand il se trouva dehors, il respira devant la porte de « la Centrale hérisson » — une expression à lui — avec tous ses pics blancs censés empêcher qu’un hélicoptère se pose. A droite, la route conduisait à la zone commerciale Cap Sud ; il l’aurait bien mis, lui, le cap au sud ! Mais il décida de prendre à gauche. Devant lui, un champ, et une usine en arrière-plan ; de chaux peut-être. Il emprunta la voie cyclable pour aller vers le bourg. Un immense silo à grains se dressait devant lui. Décidément, entre la Centrale, le silo, l’usine, ce patelin n’avait rien de touristique !

Jack traversa une petite voie ferrée et descendit vers un rond-point. Là, un panneau le fit sourire : il indiquait la direction du « Château des Planches ». Des planches, il en imagina quatre… « Idée noire » aurait dit les psys de Gireugne…

Il descendit une légère côte, déboucha dans une large vallée et, marchant prudemment sur le bas-côté de la route, avança au milieu des prairies, de ponts en ponts, en direction de Saint-Maur ; encore un nom qui résonnait bizarrement. Tant de gens étaient morts autour de lui… Décidément Jack avait le blues… Ou l’angoisse au ventre… Peut-être aurait-il dû continuer à prendre des anxiolytiques ?

A l’entrée du bourg, une jolie boulangerie lui mit l’eau à la bouche ; il se dit qu’il y rentrerait bien pour s’offrir une pâtisserie : ce serait son petit caprice à lui. Il hésita. Puis préféra se rendre directement au restaurant qu’il avait indiqué comme premier point de chute. Son nom lui avait plu : « La Promenade ». Idéal pour un jour de permission ! Évidemment, avec l’épidémie, il ne put pas s’installer mais s’adonna au nouveau concept à la mode : le « clique, récupère et casse-toi. » Encore une expression à lui. Sincèrement, ce n’est pas très convivial ce truc… Jack mangea son délicieux cheeseburger en marchant. Il s’attendait à un village plus grand quand il avait lu : «deuxième commune la plus étendue de l’Indre » ; mais donc, en superficie uniquement.

Et lui, les champs plats à perte de vue, ça ne le branchait pas trop l’amoureux des calanques. Tout près de La Promenade, dans un renfoncement, se cachait le bureau de tabac-presse-jeux-poste-épicerie : « Le Relais Saint-Maurois ». Jack trouva le nom poétique et entra. Il s’acheta des cigarettes, résista à l’acquisition d’un billet de loterie.

Quel plaisir ce fut de s’en griller une au pied d’une pompe-fontaine surmontée d’un angevin ! Il l’observa : c’était bizarre, on aurait dit que cette partie de la fontaine s’était évadée du bassin qui trônait près de l’église ! L’église… Il osa avancer vers elle. Rien à voir avec l’emblématique Basilique Notre-Dame-de-la-Garde qui surplombe sa bonne ville de Marseille. Mais qui sait si, dans cet édifice bien assis entre d’anciennes maisons, une Bonne Dame ne veillait pas sur la petite cité et ses habitants ? Jack s’assit sur un banc, repensa à toute cette histoire : le Symbole, La Marque, le monde souterrain, Dabliya, le Lazaret, la Syrie, le meurtre du Président du Syndicat des Tatoueurs Professionnels de Marseille, Balthazar, Éléonore, Maria, Greta… Tout s’était entremêlé dans sa tête… Mais comme cette sortie lui fit du bien !

Il abandonna sur le banc ses soucis, se remit debout et regarda autour de lui. Une vieille dame rentra dans la boucherie du bourg et, entre les caméras de surveillance et Jésus sur sa croix au coin d’un parc, les voitures lui laissèrent plus ou moins aimablement la priorité sur les carrefours. Au loin, il aperçut la mairie mais emprunta une rue transversale et s’enfonça un peu plus loin.

Au bout d’un chemin — du boutru… gourichon… un truc imprononçable en tout cas —, il grimpa sur une passerelle et découvrit une vaste étendue d’eau traversée par un pont flottant. Original. « Les Ballastières, ancienne carrière » indiquait un panneau explicatif. Vraiment sympa comme endroit, plus agréable que Les Bas Fonds de Marseille… Pas à dire, même ce jour-là il eut du mal à oublier son passé…

Il en est là de sa rétrospective de permission quand l’œilleton métallique de la porte de sa cellule claque. Vérification nocturne : RAS. Que se passe-t-il à Marseille en ce moment ? …”

Village de Saint-Maur

Sylvie Etiève (revu par Stéphane Aucante)

Photos : Sylvie ETIEVE

J’ai tout pour être heureuse, heureux, mais je me sens insatisfaite, insatisfait !

(Temps de lecture : 3′ 30)

Il m’arrive de recevoir des personnes en consultation, qui se sentent en contradiction avec leur propre vie.

A priori, ces personnes ne se sentent pas vraiment bien dans leur vie, et pourtant, quand elles y réfléchissent, elles conçoivent qu’elles ont pour tout pour être heureuses.

Oui, mais …

Une bonne santé, un métier qui a du sens, un(e) conjoint(e)-ou un célibat choisi-, des enfants- ou pas, par choix-, pas de difficultés financières, des activités variées, des amis … a priori, oui, tout est coché pour que la vie soit belle.

Mais non , elles ne se sentent pas bien, “ne s’éclatent pas vraiment ! “, se plaignent, jugent ou critiquent beaucoup, elles sont parfois amères, mécontentes, boudeuses, voire un peu déprimées ! Elles sont insatisfaites!

D’OU VIENT CE MALAISE ?

Bof !
  • Notre éducation nous pousse, le plus souvent, à “bien faire”, ou à toujours “nous améliorer”, ce n’est pas fondamentalement le problème mais, si dans cette éducation nous n’avons pas eu suffisamment d’encouragements positifs, de reconnaissance, cela laisse des traces dans notre vie d’adulte: “je peux toujours faire mieux”, “je ne fais que des erreurs”, “je fais ça, mais je ne me sens pas très sécurisée “, “encore pas terrible ce que je vis” … bref, l’on peut passer beaucoup de temps à s’autocritiquer voire s’autocensurer, ce qui, à force, génère de l’insatisfaction !
Pffff !
  • Par ailleurs, la société (de consommation) dans laquelle nous évoluons, nous renvoie des modèles proches d’une “certaine perfection”. Cela va de la belle voiture (ou cuisine) aux potentielles vacances exceptionnelles, sans parler des profils physiques ou familiaux (je vous invite à taper le mot ‘famille’ dans un moteur de recherche (image) : vous ne verrez que des familles heureuses, et bien portantes !) Tout cela nous “met, insidieusement, un peu la pression”, car nous avons une fâcheuse tendance à nous comparer: en scrutant (ou interagissant sur les réseaux sociaux par exemple!

Ce malaise, une fois conscientisé, signifie avant tout une envie d’aller mieux. Donc lorsqu’on arrive en thérapie pour en parler, c’est que, déjà un début de solution peut s’amorcer.

ALORS QUE FAIRE ?

“Ah ; ça arrive”

Nous pouvons vivre ce sentiment ‘d’insatisfaction’ qu’exceptionnellement. Cela arrive et est normal: dans la vie il y a des échecs et des doutes ! Et être insatisfait d’une situation peut avoir un côté “remise en cause” et permettre d’améliorer la situation en question.

“Il y en a marre !”

Mais certaines personnes peuvent être réellement handicapées par une insatisfaction chronique : jamais heureuses, elles voient toujours le côté négatif des choses, peinent à remercier, blâment et se blâment régulièrement, jugent, visent la perfection, dramatisent les événements … comme si elles cherchaient à combler un manque permanent. Ces personnes-là ont alors besoin d’un accompagnement pour comprendre d’où vient cette sensation de “vide à combler” si elles souhaitent apaiser leur difficulté et être plus agréable avec leur entourage.

Cet accompagnement pourra permettre :

  • d’analyser les racines de ce ressenti
  • de voir les situations différemment et d’adapter son attitude
  • d’apprendre “la reconnaissance” et “la gratitude”
  • de distinguer “l’important” de “l’essentiel”
  • d’évoquer les notions “d’échec” de “perfection” et de “sécurité intérieure”
  • d’étudier la confiance en soi et/ou l’estime de soi
Sourire est une aide précieuse !

L’objectif visé étant bien sûr un mieux-être généralisé, car l’insatisfaction chronique peut mener à la déprime même à la dépression.

Etre bien avec soi-même et avec ceux qui nous entourent est quand même un des buts à atteindre dans la vie non ?

Si vous avez pris le temps de lire cet article, je vous en remercie et j’espère qu’il vous aura satisfait.

Portez-vous bien.

Sylvie ETIEVE

“La satisfaction intérieure est en vérité ce que nous pouvons espérer de plus grand.”
Spinoza ( philosophe néerlandais du XVII siècle)

Crédit image: SE 2019 -atelier gestion des émotions “modelées par les enfants”.

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Comment cela se passe-t-il ?

1: Prendre RV avec moi: par mail, par sms ou par téléphone.

2: Une fois l’heure du RV fixée: baliser le temps et l’espace de celui-ci (par exemple prévoir quelques minutes avant le RV : son installation dans un lieu calme et où l’on est certain de pouvoir parler en toute tranquillité pendant une heure.

3: Une fois le RV fixé : Régler la séance via paypal (carte bleue) : c’est très simple: il me faut juste votre adresse mail et je m’occupe du reste: vous suivrez la démarche pour votre règlement. 45 € /heure en individuel (65 € thérapie de couple). Seules les séances réglées ne pourront être prises en compte.

4: On peut faire la séance : par téléphone mais mieux par visio soit skype soit messenger soit WhatSapp : on peut se voir cela appuie la communication.

5: Et voilà -d’où que vous soyez-: vous avez pris un temps de thérapie individuelle ou de couple qui je l’espère vous permettra d’avancer un peu plus.

Merci de votre attention.

Sylvie Etiève 0781 33 06 87

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