Hier soir je menais la troisième séance « Bien Etre Parent » à Argenton-sur-Creuse (36).
Mon petit groupe, très hétérogène mais très impliqué et sympatique, semblait découvrir une méthode d’éducation positive prônée par la psychologue Américaine Jane Nelsen (et , soit dit en passant mère de 7 enfants !).
Donc (comme vous ne viendrez pas tous à ces rencontres) je vous transmets un moyen de restaurer la relation en cas de bêtises ou conflits en famille proposé par Jane Nelsen.
“Qui a mis cette peinture sur ta figure ?”
Si votre enfant a fait une erreur , vous pouvez apprendre à lui faire appliquer :
Les 3 « R » de la réparation.
R : pour reconnaître sa part de responsabilité (« oups j’ai fait une erreur, je vais la réparer» sans culpabilité)
R : pour réconcilier (« je suis désolée d’avoir fait/dit ça, pardon … »)
R : pour résoudre (« il faudrait trouver une solution ensemble pour ne plus que cela se reproduise ou pour réparer mon erreur »)
L’enfant comprend que le dommage existe et qu’il doit le réparer : par exemple s’il renverse un verre d’eau, c’est lui qui essuie. Suivant l’erreur faite la réparation peut-être : quelques mots d’excuses (oraux ou écrits) , une réparation plus matérielle (racheter un double décimètre cassé à son camarade) ou une réparation compensatrice (faire quelque chose qui compense : “pendant que je rince ton pull plein de peinture tu vas ranger toutes les affaires de peinture et aller te laver !” ).
Voilà en quelques mots « les 3 R de la réparation » !
Cette méthode d’éducation bienveillante et positive transmise par Jane Nelsen, permet donc à l’enfant d’être mis en confiance, encouragé, impliqué,respecté,responsabilisé : ce qui lui permet de devenir autonome de grandir quoi !
La punition quant à elle n’entraîne que Rancœur Revanche Rébellion et Retrait (les 4 “R” de la punition, qui n’a pas sa place en éducation positive !)
Ah oui !
Pour conclure : cette façon d’envisager les 3″R” de la réparation ne s’applique pas qu’aux enfants ! Evidemment !
Bien bonne journée. Sylvie Etiève (mardi 23 janvier 2017)
Mercredi 17 janvier , sur France Bleu Berry : je serai l’invitée de Patricia Darré dans son émission ” la vie en bleu” de 9h à 9h40. Je présenterai mon cycle Bien Etre Parent et répondrai aux questions des auditeurs sur la parentalité.
Le cycle a commencé sur Argenton sur Creuse : mais il est possible de s’y joindre à partir de jeudi (il y aura une petite demie heure de résumé de la première séance ) !
P comme : Parents Partage Philosophie Persévérance
T comme : Tendresse Terre-d’accueil Tourments Ténacité
E comme : Espérance Espoir Energie Expérience Épreuves Extra-ordinaire
R comme : Responsabilité Renouveau Renaissance Rigueur Rêve
Vouloir écrire un article sur l’adoption lorsque sa propre vie est empreinte de cette histoire entraîne parfois sur des chemins de l’écriture inattendus. Je m’étais engagée à écrire cet article pour décembre et il s’avère que, lorsque j’ai entrepris l’écriture, ce n’est pas un article que j’ai rédigé mais notre histoire de famille, des heures durant ! Je l’ai offerte à mes proches et suis prête à l’offrir à ceux qui la souhaiteront*.
Adopter un enfant a aujourd’hui plusieurs sens. Si d’un point de vue juridique c’est donner son nom (une filiation) et une famille à un enfant ou adolescent qui n’en a plus du fait d’avoir été abandonné, aujourd’hui avec tous les profils de familles que l’on voit : adopter dépasse largement le plan juridique.
Un de mes patients, m’expliquait que dans sa future recomposition familiale, il allait devoir s’adapter aux enfants de sa future compagne qui, eux, allaient donc devoir l’adopter : oui ! S’adapter s’adopter à une lettre prés et d’un point de vue étymologique cela se rapproche. Car si en général ce sont les adultes qui enclenchent une adoption : tous les protagonistes doivent mutuellement s’adopter pour que l’alchimie se fasse dans la famille ! Surtout que l’adoption peut être plénière ou simple.
Au-delà des mots clés de l’acrostiche ci-dessus (pour lesquels j’ai eu de l’aide de mes enfants) un maître mot est le mot Confiance. Sans elle le cheminement ne peut pas se faire : trop d’étapes à franchir, trop de temps à patienter, parfois trop de doutes !
Entre le moment où l’on décide d’ouvrir son foyer à un enfant et le moment où l’on passe devant le juge pour basculer en adoption plénière : des jours, des nuits, des semaines des mois voire des années s’écoulent…
Décider de la grossesse d’un enfant, même si ce n’est pas toujours facile pour certaines, dépend à 100% de soi ! Adopter un enfant passe par des rendez-vous avec des organismes assermentés qui « dépossèdent » un tant soit peu de cette décision. Rencontrer assistante sociale, psychologues, médecins, organismes administratifs, associations demande une endurance parfois difficile à tenir : certains sont déboutés et n’obtiennent pas leur agrément, d’autres abandonnent, mais la plupart des couples poursuivent…
Si l’on franchit tous ces obstacles : l’arrivée chez soi d’un enfant– comme lors d’une naissance- est un cadeau de la vie d’une valeur inestimable, la joie qui en découle submerge.
Comme tous les enfants ils donneront du « fil à retordre à leurs parents » mais aussi des moments de plénitude familiale. Ce n’est pas parce que l’on est un enfant adopté que l’on exempte sa famille des tracas et des questionnements ni qu’on lui en ajoute davantage. Chaque vie a son histoire qui se tisse avec la vie de ses proches : parfois en harmonie, parfois il y a des accrocs : c’est ainsi !
Et, comme des enfants nés du sang, ces enfants viennent aussi du cœur de leurs parents. Même s’ils ont une autre histoire génétique, des origines différentes qu’il ne faut pas ignorer, il semble bon de ne pas cristalliser sur celles-ci pour avancer en toute confiance sur le chemin de la vie.
Le bon point c’est que les jours ont fini de raccourcir !
Le mauvais point c’est qu’on devrait hiberner car justement c’est l’hiver et qu’on doit être au taquet ! Le deuxième trimestre scolaire, par exemple est souvent déterminant pour les apprenants, alors que le pic de la forme n’est biologiquement pas élevé!
Manque de lumière, fatigue, froid … entrainent quelques troubles de l’humeur : baisse de moral par exemple qu’il faut parvenir à compenser.
Alors petite liste de rappel pour contrer ceci :
Profiter du soleil et/ou du jour (à quand les lumières de luminothérapie dans les salles de cours, dans les bureaux ?), prendre l’air et bouger, consommer des fruits des légumes du poisson frais, des fruits secs, des tisanes de millepertuis, et du chocolat : ça ça devrait aller ! Et surtout prendre soin de soi : le cocooning est permis avec un bon livre, un bon film, de la musique, du rêve, des amis, et enfin ne pas hésiter à mettre de la couleur là où la saison joue parfois en sépia !
C’est quand on va bien que l’on peut être disponible pour les autres !
(Lire cet article vous demandera un peu de temps : merci de le prendre, ou en tout cas merci d’être passé par mon site n’hésitez pas à le faire vivre ! )
Parce qu’il y a des périodes un peu plus difficiles que d’autres, il est parfois bon d’écouter et d’accueillir la réflexion de certains spécialistes :« “Faire son deuil’ est un paradoxe absolu, écrit Anne Dufourmantelle, le deuil est par excellence un moment d’impuissance. Un événement réel nous percute, et nous n’y pouvons rien. Or le verbe “faire” sous-entendrait qu’on pourrait y opposer un acte, une volonté, quelque chose… Malgré nous, nous avons toujours besoin de croire que nous pouvons agir devant un événement. Aussi révélatrice soit-elle, cette expression m’apparaît néanmoins inappropriée. Car il semble que, dans le deuil, tout le travail consiste plutôt à aller dans le sens de l’impuissance, de l’acceptation de la perte. Il s’agirait plutôt de “défaire son deuil” »*
Les propos d’Anne Dufourmantelle philosophe et psychanalyste française (née en 1964) peuvent apporter un éclairage rassérénant lorsqu’on traverse une période troublée par la perte d’un être proche.
Je vous propose –si vous en avez envie, besoin, de partager d’autres de ses propos, tenus dans la revue « Philosophie » il y a quelques années :
« Les tombes, sépultures, actes juridiques, testaments retrouvés, lettres d’adieu ont un rôle : tous ces marqueurs extérieurs aident le sujet à se délivrer d’en être le seul dépositaire. Ils rendent le deuil dicible (exprimable) et partageable. Dans les thérapies, on constate qu’aller se recueillir sur une tombe, faire rétablir un nom d’enfant mort oublié, entretenir la mémoire peuvent être des moments clés d’une cure. C’est la reconnaissance pour un vivant qu’il peut laisser aller le mort à sa mort et accepter la vie. »
La mort a souvent une place un peu taboue dans notre société : cela –et à juste titre- dérange.
Certaines personnes évitent les endeuillés (ce n’est pourtant pas une maladie contagieuse) ou elles ne savent pas vraiment quoi dire, alors que le plus simple est d’écouter de façon disponible sans conseil sans jugement celui qui vit la disparition de l’Autre. La peine est lourde à porter : un moment, un geste, un mot un sourire en allège le fardeau !
La société, pour suppléer à notre fragilité due à ce moment douloureux, propose une aide …commerciale! Et avec condescendance ce commerce nous dépossède parfois de nos propres missions. Pourtant celles-ci nous aident à avancer vers l’acceptation. Comme dans tout deuil on sait qu’il faut plus ou moins passer par les phases* de déni, de colère, d’expression, de dépression qu’entraine le constat, ou, la nouvelle d’un décès avant d’accepter la perte de cet Autre !
Croyant ou pas à la vie après la mort , chacun parcourt son chemin intérieur du deuil à sa façon, c’est un parcours mystique mais surtout irrationnel : nous pensons que nous avons intériorisé la mort de celui qu’on aimait , que ça va mieux, et, tout à coup une vague émotionnelle nous submerge comme ça de façon quasi inexplicable. Ou encore au cœur de ces nuits sans fond, un rêve, où passé présent futur s’entremêlent, nous éveille, abruptement, le manque est cruel, on est là comme au-dessus du vide : angoissant, angoissé.e !
Il n’y a pas de bonnes ou mauvaises manières pour entreprendre ce cheminement personnel, vers ce, qui de toute façon ne sera plus jamais tout à fait comme avant ! La patience et le courage de donner du temps au temps, aident bien sûr à l’atténuation de la douleur (étymologie du mot deuil): mais chacun, avec ce qu’il est, ce qu’il a reçu, comme il a vécu, chemine à son rythme : ce qui est sûr c’est que la route est longue, chaotique et qu’aujourd’hui prendre le temps de vivre de tels événements n’est pas forcément accepté, acceptable !
Il ne s’agit pas, bien sûr d’être dans l’affliction permanente dans le désarroi et les larmes (qui par ailleurs, libèrent) non : on peut même s’autoriser à être heureux mais il s’agit de s’écouter pour ne pas refouler ce chagrin, de parler (même seul.e) pour ne pas bloquer ce « travail » nécessaire, de faire évoluer l’attachement que l’on avait avec la personne disparue pour en faire de façon résiliente une source d’énergie et reprendre le goût du risque de la vie !
Anne Dufourmantelle était une de ces femmes qui aimaient prendre des risques : « La vie tout entière est risque. écrivait-elle . Vivre sans prendre de risque n’est pas vraiment vivre. C’est être à demi vivant »: elle en avait même écrit un livre recommandable : « l’éloge du risque » **!
Malheureusement ,c’est en voulant sauver deux enfants de la noyade qu’elle a trouvé la mort l’été dernier dans le Var : Aujourd’hui je dois une certaine reconnaissance à ce qu’elle a su léguer à nous ses lecteurs qu’elle aide encore au-delà de sa disparition !
Sylvie Etiève
Article du 18 novembre 2017
Je dédicace cet article à ma mère Claudine à qui je dois tout ce qu’un enfant doit à sa mère quand elle a été ce qu’elle fut :
« Maman, avec papa, comme sur la balançoire de notre portique, vous nous avez poussés dans la vie avec ce va-et-vient nécessaire au cheminement vers l’âge adulte. Aujourd’hui une corde de la balançoire se casse : la chute, bien que prévisible fut-elle, est un peu brutale pour nous tous ! Mais on réagira car vous nous avez insufflé suffisamment d’Amour pour nous relever et avancer. » (Extrait du texte d’hommage -SE)
*Source : Magazine Philosophie Octobre 2014 – Anne Dufourmantelle
**Les travaux d’Elisabeth Kübler-Ross font retenir 5 étapes d’un deuil : le déni, la colère, l’expression/marchandage, la dépression, l’acceptation.
Samedi 30 et dimanche 1er octobre, malgré quelques questionnements, je me suis installée au salon du bien-être organisé par l’association “Bien-Etre en Berry” ( d’ailleurs bien organisé.
Ce fut l’occasion de rencontrer beaucoup de personnes ayant envie, peut-être même besoin, de partager un petit bout de leur vie ou de celle d’un proche tout à fait anonymement : et pour moi cet état d’esprit de confiance dans un lieu public- donc guère propice à la confidence- m’a particulièrement encouragée dans mes débuts d’installation en tant que thérapeute.
Afin de colorer mon humble emplacement ,quelques enfants ont eu l’occasion de s’exprimer par un dessin sur les thèmes que je leur proposais et que vous définirez facilement . Ils vous les offrent avec l’accord de leurs parents :
Je remercie les personnes qui ont pris du temps pour discuter avec moi, celles qui m’ont soutenue dans mon installation ” les besoins sont considérables” ai-je souvent entendu “donnez moi votre carte, on ne sait jamais !” et je laisse le mot de la fin à cette adolescente Solène qui a souhaité nous écrire un petit message sur le coin de ma table du salon (du bien-être.)
Ainsi c’est l’occasion de se souvenir de ce très beau poème Un sourire extrait de Le livre d’amour – Raoul Follereau (écrivain et journaliste français qui a lutté contre la lèpre et la pauvreté et défendu l’accès à l’éducation pour tous).
UN SOURIRE
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup, Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne, Il ne dure qu’un instant, mais son souvenir est parfois éternel, Personne n’est assez riche pour s’en passer, Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter, Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires, Il est le signe sensible de l’amitié, Un sourire donne du repos à l’être fatigué, Donne du courageau plus découragé Il ne peut ni s’acheter,ni se prêter, ni se voler, Car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne. Et si toutefois, vous rencontrez quelqu’un qui ne sait plus sourire, Soyez généreux donnez lui le vôtre, Car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
“Sylvie Etiève a passé vingt-huit ans avec des élèves. Cette année, l’ancienne professeure des écoles n’a pas fait sa rentrée, devenue thérapeute familiale qualifiée. C’est sa première non rentrée. Au bout de vingt-huit années passées de l’autre côté de la barrière, Sylvie Etiève revient dans les rangs des parents d’élèves. Maman de six enfants, une fratrie atypique d’enfants biologiques et adoptifs, tous étudiants, c’est un rôle qu’elle connaît bien. Au terme de sa carrière d’enseignante, elle n’avait pas l’intention de décrocher complètement et elle a passé un diplôme de thérapeute familiale pour faire profiter les autres de son expérience. « J’avais une formation en psychologie avant de devenir professeur des écoles. En effet, au regard de ce qui se passe dans notre société, il me paraissait essentiel d’agir sur les difficultés vécues par les uns et les autres où d’améliorer des qualités de vie de chacun. En vingt-huit ans, j’ai constaté qu’il y avait de plus en plus de familles perdues, mais souvent sur des choses simples. C’est de plus en plus vrai pour les parents par rapport au numérique et l’addiction de leurs enfants aux jeux vidéo. Les gens se posent beaucoup de questions sur leur rôle de parent, souvent sans réponse. Mon expérience de mère a également forgé mon envie d’aller à l’écoute des autres. »
Sylvie Etiève propose une thérapie personnelle, de couple, familiale et même un module bien-être parent, qui est un concept de prévention : des séances par groupe sur des thématiques différentes, autorité bienveillante, jalousie, colères, importance du jeu, gestion des écrans, devoirs à la maison, etc. Le premier module débutera au mois d’octobre, chaque lundi, pour une heure et demie. Deux sessions sont prévues chaque lundi : de 10 h 30 à 12 h ou de 20 h à 21 h 30, à la salle des Jardins d’Adèle, près du jardin public, à Saint-Maur.
Tarif : 40 € le cycle de quatre rencontres.
Inscriptions : tél. 07.81.33.06.87 ;
Vous vous posez des questions sur votre rôle de parent et/ou vous souhaitez prendre un peu de distance sur votre relation parentale.
Ce cycle de 4 rencontres est pour vous
« Bien Etre Parent(s) pour Bien-Etre Parent(s) »
Des thèmes différents seront abordés à chaque séance : l’autorité bienveillante, jalousie ,disputes entre frères et sœurs, caprices, colères et autres émotions, culpabilité, l’importance du jeu, les devoirs à la maison,gérer les écrans, pour une bonne communication en famille etc
Présentation et apports généraux.
Questionnement et positionnement personnel.
Quelques clés.
Petit débat autour de vos questions.
POINTS PRATIQUES :
Dates :
2 octobre/9 octobre/16 octobre/23 octobre
Tous les lundis pendant 1 mois (durée : 1h 30)
Deux créneaux possibles : matin 10h30 / 12 h
OU
soir 20h/21h30
Lieu : Saint-Maur : salle des jardins d’Adèle ( près du jardin public)
Message d’une maman à sa fille pour son anniversaire ce jour (avec l’autorisation de l’auteure et le prénom a été changé):
« Je t’ai vue rire, je t’ai vue pleurer
Je t’ai vue parler, je t’ai vue marcher….
Devenir parents est le plus beau des métiers, depuis 16 belles années tu nous remplis de bonheur !
Etre parents est un sentiment merveilleux, c’est un mélange d’amour, de bonheur, de joies et de moments riches en émotions….
Joyeux anniversaire adorable Julie et continue de nous rendre heureux »
Ces petits messages font (en général) plaisir à celui (celle) qui le reçoit car c’est une affectueuse reconnaissance. Cette web mise en scène (on sait que d’autres vont les lire, les liker) « glorifie » la personne. Réciproquement ces partages sur les réseaux sociaux- même s’ils ont un côté narcissique dont il faut être conscient- permettent d’exister dans la sphère de l’autre de lui redire sous une autre forme notre attachement : devant les témoins du réseau social utilisé. Ils donnent confiance en soi et permettent une meilleure estime de soi. Bien sûr ils restent virtuels et ne compensent pas certaines failles s’il y en a, mais ils procurent un certain plaisir dont on aurait tort de se priver ! Néanmoins s’il y avait un conseil ce serait « ne pas en montrer plus virtuellement qu’on ne serait capable de le manifester concrètement et toujours se demander : « cela ne va-t-il pas le mettre mal à l’aise ? »
En tout cas ne manquons pas une occasion de dire son affection : bravo à “la maman” pour ce joli post.
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